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La fuite d’un Kanak qui devait être exhibé lors de l’exposition coloniale de Paris, en 1931. Inspiré de faits réels.
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La banlieue était mise en musique avec son argot, ses colères et ses rires, témoignant ainsi sa vitalité culturelle.
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Cette série documentaire a été réalisée par Emmanuel Blanchard et Karim Miské. Elle relate un siècle d’histoire en trois épisodes de 50 min: « Indigènes » (1904-1945), « Immigrés » (1945-1981) et « Français » (1981 à nos jours). Diffusé sur France 5 en plein débat sur l'identité nationale, le film a connu des records d'audience. Le film se veut...
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L'anti-Roselmack ; un documentaire très long sur le quotidien, le vrai, de la jeunesse beauvillesoise.
Maison de quartier, écrivain public, études, transports, rap, sport et... chômage. Avec en contre-point le regard d'un économiste et d'un sociologue.
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La télévision publique a produit un coffret de 5 films pour valoriser son travail en faveur de la « diversité » dans les fictions. A part l'excellent « Fais danser la poussière », des productions consensuelles et molles. Bien loin du monde réel.
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Paris, la banlieue, la province, les Etats-Unis, aucune territoire de slam n'est oublié dans cette vision à la fois actuelle et qui revient sur les racines du slam.
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Un riche auteur américain défend une vision républicaniste de ce que devrait être un vrai combat pour l'égalité ; soit une critique assez théorique et fondée sur des arguments logiques mais peu empiriques de la diversité, considérée comme une idéologie d'essence libérale (au sens français) visant à faire diversion par rapport aux questions sociales, et à faire émerger quelques fractions...
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Deux copines délurées et paumées de Puteaux ne vont pas se laisser bouffer par un monde dur. Attirées par les lumières de la capitale, elles se heurteront au plafond de verre social, mais, vraies guerrières, ne lâcheront pas l'affaire. Frais, cash, pétillant et particulièrement bien brossé (et consentant) sur la fascination du consumérisme.
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Histoire, heurts et malheurs de la Grande-Borne, à Grigny (91), loin du rêve de son architecte, qui paraissait visionnaire en 1967. Comment, alors que le rêve semble se transformer en cauchemar pour beaucoup d’habitants (et pour la municipalité qui est mise en faillite en 2009), ceux-ci survivent, entre fatalisme, solidarité et espoir d’un ailleurs...
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Des enfants des quartiers peuvent-ils rester longtemps des enfants ? Blessures affectives, cruauté de la société, humanité et enfance qui veulent s’exprimer pourtant… Parfois caricatural, mais bon dieu, laissez-les vivre !