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Ce livre, issu d'enquêtes de terrain, d'études de cabinet de conseils et de données statistiques officielles, réalise une image détaillée des discriminations par type (genre, âge, origine ethnique...), par domaine (études, emploi, santé, logement...), par nature (systémique, directe ou indirecte).
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A partir d'enquêtes menées dans différents quartiers pauvres en Haïti, au Sénégal, en France et surtout en Argentine, l'auteur met en relation la déstabilisation de la société salariale avec l'émergence de nouvelles formes de mobilisation au sein des populations concernées.
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Dans la continuité d'un séminaire tenu en 2010, en s’appuyant sur des recherches menées en France et au Brésil, ce livre propose une réflexion pluridisciplinaire sur les relations intergénérationnelles au sein des institutions à vocation éducative (famille, école, équipements socio-éducatifs).
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Cet ouvrage, édité déjà 12 fois, réalise un diagnostic et présente d’une manière détaillée des méthodes efficaces pour tenter de maîtriser les violences urbaines.
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Cette thèse analyse la façon dont la politique du logement social contribue à la construction des frontières ethniques en Grande-Bretagne et en France à partir d’études de cas menées à Birmingham et à Marseille.
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Ce livre présente “ la politique de la précarité “ inventée aux États-Unis qui visait à plier les populations à l'ordre économique et moral émergent et continue son analyse en Europe et en France, en démontant les ressorts de la "pensée unique sécuritaire".
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Ce livre permet de comprendre le système politique dans lequel nous vivons au travers d’une analysé de son architecture.
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Cet ouvrage, avec une vocation de manuel, repose sur des contributions portant sur trois thèmes : l'exclusion, la justice sociale, les dynamiques urbaines. Il dresse ainsi un panorama sur les liens entre ville et pauvreté et il présente différentes options possibles pour les politiques.
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L’hypothèse présentée dans cet ouvrage est que la question sociale seule ne permet plus, aujourd’hui, de rendre compte des logiques de formation des problèmes urbains, mais les questions spatiale et ethno-raciale viennent s’y surajouter.
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Cet ouvrage repose sur un travail ethnographique d'immersion et se présente comme une étude de cas de ce que l'auteur appelle la « sociologie des turbulences », visant à appréhender les phénomènes de violence, les désordres urbains et leur régulation dans les « quartiers impopulaires ».
Ce livre, issu d'enquêtes de terrain, d'études de cabinet de conseils et de données statistiques officielles, réalise une image détaillée des discriminations par type (genre, âge, origine ethnique...), par domaine (études, emploi, santé, logement...), par nature (systémique, directe ou indirecte).
A partir d'enquêtes menées dans différents quartiers pauvres en Haïti, au Sénégal, en France et surtout en Argentine, l'auteur met en relation la déstabilisation de la société salariale avec l'émergence de nouvelles formes de mobilisation au sein des populations concernées.
Dans la continuité d'un séminaire tenu en 2010, en s’appuyant sur des recherches menées en France et au Brésil, ce livre propose une réflexion pluridisciplinaire sur les relations intergénérationnelles au sein des institutions à vocation éducative (famille, école, équipements socio-éducatifs).
Cet ouvrage, édité déjà 12 fois, réalise un diagnostic et présente d’une manière détaillée des méthodes efficaces pour tenter de maîtriser les violences urbaines.
Cette thèse analyse la façon dont la politique du logement social contribue à la construction des frontières ethniques en Grande-Bretagne et en France à partir d’études de cas menées à Birmingham et à Marseille.
Ce livre présente “ la politique de la précarité “ inventée aux États-Unis qui visait à plier les populations à l'ordre économique et moral émergent et continue son analyse en Europe et en France, en démontant les ressorts de la "pensée unique sécuritaire".
Ce livre permet de comprendre le système politique dans lequel nous vivons au travers d’une analysé de son architecture.
Cet ouvrage, avec une vocation de manuel, repose sur des contributions portant sur trois thèmes : l'exclusion, la justice sociale, les dynamiques urbaines. Il dresse ainsi un panorama sur les liens entre ville et pauvreté et il présente différentes options possibles pour les politiques.
L’hypothèse présentée dans cet ouvrage est que la question sociale seule ne permet plus, aujourd’hui, de rendre compte des logiques de formation des problèmes urbains, mais les questions spatiale et ethno-raciale viennent s’y surajouter.
Cet ouvrage repose sur un travail ethnographique d'immersion et se présente comme une étude de cas de ce que l'auteur appelle la « sociologie des turbulences », visant à appréhender les phénomènes de violence, les désordres urbains et leur régulation dans les « quartiers impopulaires ».