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Le géographe Michel Lussault montre l'intérêt à saisir les rapports sociaux par le prisme de l'espace au travers de plusieurs exemples, comme la construction d’un faux hall d’immeuble dans une cité du Havre ou la vente de coquillages par un vieil homme sur une plage du sud de l’Inde.
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Cet ouvrage traite de la multiplicité des banlieues en nous permettant ainsi de mieux cerner la réalité de ces lieux que l'on approche souvent de façon réductrice.
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A partir d'une enquête de terrain, l'auteure met notamment en évidence le caractère incertain des catégories territoriales, construites de manière aléatoire au fil des transactions politiques et elle montre comment, dans les interventions publiques, l'ethnicité est souvent contournée.
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Issus de l'atelier « Justice spatiale et ségrégation » du colloque international « Justice et injustices spatiales » (Université Paris X, avril 2008), les textes rassemblés dans ce volume ont pour ambition de contribuer au renouveau des analyses des liens entre ségrégation urbaine et justice.
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Des réflexions sur la place de la diversité dans la ville et sur une géographie sociale et une gouvernance urbaines attentives aux individus, dans un contexte de nouveaux défis éducatifs, résidentiels, culturels ou politiques et de généralisation d'injonctions à faire mixité, citoyenneté.
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Cet ouvrage interroge la conception sécuritaire du territoire en France et nos représentations du phénomène en intérrogeant les promoteurs et les élus ou techniciens en charge de l'urbanisme ou de l'habitat, mais aussi ceux qui l'habitent, les résidants.
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En partant de la redéfinition de la réalité urbaine, l’auteur élabore une nouvelle sociologie urbaine, interdisciplinaire, qui repose sur trois approches : la sociologie de la structuration sociale et urbaine, la sociologie des acteurs, la sociologie en profondeur.
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Cet ouvrage, analyse les deux significations du mot banlieue : l’extérieur de la ville-centre et les territoires en difficulté économique et sociale, pour dresser ainsi une image des agglomérations urbaines contemporaines et pour introduire aux débats de société que suscite leur devenir.
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Ce rapport au Ministère de l’Intérieur, J. P. Chevènement, de mai 1998, fait un diagnostic des violences urbaines et passe par une comparaison des politiques d’autres pays, pour ensuite émettre 10 propositions qui posent les principes d’intervention.
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L’auteur, qui travaille depuis 30 ans au remodelage de quartiers de banlieue, examine la situation des droits de l'homme, de la citoyenneté et de la solidarité en France et formule 89 propositions et 10 "devoirs du citoyen" pour restaurer le lien social et stimuler la responsabilité collective.
Le géographe Michel Lussault montre l'intérêt à saisir les rapports sociaux par le prisme de l'espace au travers de plusieurs exemples, comme la construction d’un faux hall d’immeuble dans une cité du Havre ou la vente de coquillages par un vieil homme sur une plage du sud de l’Inde.
Cet ouvrage traite de la multiplicité des banlieues en nous permettant ainsi de mieux cerner la réalité de ces lieux que l'on approche souvent de façon réductrice.
A partir d'une enquête de terrain, l'auteure met notamment en évidence le caractère incertain des catégories territoriales, construites de manière aléatoire au fil des transactions politiques et elle montre comment, dans les interventions publiques, l'ethnicité est souvent contournée.
Issus de l'atelier « Justice spatiale et ségrégation » du colloque international « Justice et injustices spatiales » (Université Paris X, avril 2008), les textes rassemblés dans ce volume ont pour ambition de contribuer au renouveau des analyses des liens entre ségrégation urbaine et justice.
Des réflexions sur la place de la diversité dans la ville et sur une géographie sociale et une gouvernance urbaines attentives aux individus, dans un contexte de nouveaux défis éducatifs, résidentiels, culturels ou politiques et de généralisation d'injonctions à faire mixité, citoyenneté.
Cet ouvrage interroge la conception sécuritaire du territoire en France et nos représentations du phénomène en intérrogeant les promoteurs et les élus ou techniciens en charge de l'urbanisme ou de l'habitat, mais aussi ceux qui l'habitent, les résidants.
En partant de la redéfinition de la réalité urbaine, l’auteur élabore une nouvelle sociologie urbaine, interdisciplinaire, qui repose sur trois approches : la sociologie de la structuration sociale et urbaine, la sociologie des acteurs, la sociologie en profondeur.
Cet ouvrage, analyse les deux significations du mot banlieue : l’extérieur de la ville-centre et les territoires en difficulté économique et sociale, pour dresser ainsi une image des agglomérations urbaines contemporaines et pour introduire aux débats de société que suscite leur devenir.
Ce rapport au Ministère de l’Intérieur, J. P. Chevènement, de mai 1998, fait un diagnostic des violences urbaines et passe par une comparaison des politiques d’autres pays, pour ensuite émettre 10 propositions qui posent les principes d’intervention.
L’auteur, qui travaille depuis 30 ans au remodelage de quartiers de banlieue, examine la situation des droits de l'homme, de la citoyenneté et de la solidarité en France et formule 89 propositions et 10 "devoirs du citoyen" pour restaurer le lien social et stimuler la responsabilité collective.