Banlieuthèque

Banlieuthèque

  • La Mare Rouge au Havre. Dans un quartier rongé par le chômage où les jeunes s’adonnent au système D, documentaire sur le parcours de deux d’entre eux qui tordent le destin à coups d’audace, d’optimisme et de rires.
  • Quelques jeunes qui ne sont pas des cailleras, mais juste désœuvrés, pris dans la spirale d’un monde qui part en vrille. Un film de maître qui a mis le quotidien d’une certaine jeunesse à la portée du grand public. On ne peut l’oublier. Jusqu’ici, tout va bien.
  • Un jeune et ses quelques potes essayent de s’en sortir en magouillant, dans un monde de magouilles, tout en essayant de rester « des gens biens ». Ironique, frais, tonique… et une jolie pirouette finale !
  • La vie quotidienne et le regard caustique d’une ado sur son entourage : portraits caustiques et écriture vivifiante. Un vrai bol d’air, loin des clichés misérabilistes sur les banlieues.
  • Portrait tragique et nostalgique de Marseille, une ville qui vieillit et oublie son passé populaire, et entre en friction avec son présent multiculturel.
  • Peut-on échapper à l’emprise de la cité, même quand on est tiré par l’amour et la droiture ? Un désespoir épais comme le béton.
  • La jeunesse des quartiers, son errance et ses errements à Goussainville. Brut, brouillon et décoiffant. Une claque.
  • La cité des Cosmonautes, des jeunes en errance, quelques larcins, des moments de défonce et le visage d’ange triste de Kader Boukhanef dont la mélancolie ouvre les portes des imaginaires et de la poésie.
  • À la périphérie des villes, surgissent les grands ensembles où les jeunes se regroupent, s’affrontent et commencent à constituer les premiers rites et les premiers codes d’une jeunesse de rupture.
  • La vie heurtée d’une fille des banlieues de Marseille. Réalisme poétique, voire surréalisme. Un film à la fois vivifiant, et d’un optimisme teinté d’une grande douceur mélancolique. Rare.

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