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Dans ce livre, les présidents de cinq associations de solidarité parmi les plus importantes en France ont décidé d'unir leurs voix pour protester contre la désignation comme responsables de la crise de ceux qui en souffrent le plus.
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Ce travail d'investigation sociale, qui s'est appuyé sur un dispositif associant des journalistes et des chercheurs, propose des enquêtes, des portraits, des témoignages et des analyses permettant de mieux comprendre des populations dont les conditions d'existence sont masquées.
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Cet essai traite de la relation entre ville et nature à Marseille, dans une approche d’écologie urbaine. Le portfolio de photographies de paysages urbains de Geoffroy Mathieu propose, entre documentaire et rêverie, un état des lieux du territoire de Marseille et de ses environs.
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Cet ouvrage propose un historique du concept de “ banlieues “, une approche des tensions qui caractérisent certaines banlieues et des solutions apportées en termes d'aménagement, l'identification de " l'exception française " et les débats sur différents enjeux.
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Cet ouvrage, basé sur des enquêtes réalisées au Mans et à Angers, propose une réflexion sur les grands ensembles de logements sociaux en confrontant leurs réalités sociodémographiques et la représentation et perception qu'en ont les habitants.
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Ce livre synthètise des années de travail de terrain et des entretiens approfondis avec les responsables politiques locaux, qui rendent compte des chemins du pouvoir. Les auteurs analysent également les rapports que les élus entretiennent avec les autres acteurs politiques de la ville.
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A travers cet ouvrage, l’auteur présente une étude qu’il a mené sur le terrain pour démontrer que les quartiers “ sensibles “ français ne peuvent pas être assimilés à des “ ghettos “, en passant par une approche historique pour définir “ les quartiers sensibles “.
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Le but principal de ce livre est de renoncer à une vision dégradante de la cité en écoutant ses habitants. Une réflexion qui invite à intégrer dans le champ du débat démocratique l'inquiétude et les frustrations des populations des grands ensembles, mais aussi leurs ressources et leurs initiatives.
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Cet ouvrage retrace la construction de la catégorie de " quartiers sensibles " et à partir de l’analyse des prises de position des acteurs politiques, administratifs, académiques, montre comment le « quartier » s’est imposé dans l’imaginaire collectif comme une « catégorie d’action publique ».
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Cet ouvrage montre qu’il n’existe pas une banlieue unique, mais des territoires périurbains avec une diversité de lieux, d’activités et de populations et analyse les processus de ségrégation sociale et spatiale, ainsi que la spirale d'exclusion propre aux banlieues “ sensibles “.
Dans ce livre, les présidents de cinq associations de solidarité parmi les plus importantes en France ont décidé d'unir leurs voix pour protester contre la désignation comme responsables de la crise de ceux qui en souffrent le plus.
Ce travail d'investigation sociale, qui s'est appuyé sur un dispositif associant des journalistes et des chercheurs, propose des enquêtes, des portraits, des témoignages et des analyses permettant de mieux comprendre des populations dont les conditions d'existence sont masquées.
Cet essai traite de la relation entre ville et nature à Marseille, dans une approche d’écologie urbaine. Le portfolio de photographies de paysages urbains de Geoffroy Mathieu propose, entre documentaire et rêverie, un état des lieux du territoire de Marseille et de ses environs.
Cet ouvrage propose un historique du concept de “ banlieues “, une approche des tensions qui caractérisent certaines banlieues et des solutions apportées en termes d'aménagement, l'identification de " l'exception française " et les débats sur différents enjeux.
Cet ouvrage, basé sur des enquêtes réalisées au Mans et à Angers, propose une réflexion sur les grands ensembles de logements sociaux en confrontant leurs réalités sociodémographiques et la représentation et perception qu'en ont les habitants.
Ce livre synthètise des années de travail de terrain et des entretiens approfondis avec les responsables politiques locaux, qui rendent compte des chemins du pouvoir. Les auteurs analysent également les rapports que les élus entretiennent avec les autres acteurs politiques de la ville.
A travers cet ouvrage, l’auteur présente une étude qu’il a mené sur le terrain pour démontrer que les quartiers “ sensibles “ français ne peuvent pas être assimilés à des “ ghettos “, en passant par une approche historique pour définir “ les quartiers sensibles “.
Le but principal de ce livre est de renoncer à une vision dégradante de la cité en écoutant ses habitants. Une réflexion qui invite à intégrer dans le champ du débat démocratique l'inquiétude et les frustrations des populations des grands ensembles, mais aussi leurs ressources et leurs initiatives.
Cet ouvrage retrace la construction de la catégorie de " quartiers sensibles " et à partir de l’analyse des prises de position des acteurs politiques, administratifs, académiques, montre comment le « quartier » s’est imposé dans l’imaginaire collectif comme une « catégorie d’action publique ».
Cet ouvrage montre qu’il n’existe pas une banlieue unique, mais des territoires périurbains avec une diversité de lieux, d’activités et de populations et analyse les processus de ségrégation sociale et spatiale, ainsi que la spirale d'exclusion propre aux banlieues “ sensibles “.