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Les galères d’un sans-papier maghrébin qui tente de faire sa vie dans une société pleine d’êtres sensibles… et de lois impitoyables.
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Le déchirement et les contradictions d’un immigré sénégalais en France, porteur du discours du « retour aux racines »
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Polar. Métaphore de l’enfermement des banlieues.
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Une jeune fille de classe moyenne a du mal à trouver sa place dans une banlieue sans âme où l’homme n’a pas sa place.
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Coup de poing politique, vision prolétarienne de la banlieue. Bon nombre de scènes sont d’anthologie. Une violence et une énergie incroyables, contenues et prêtes à exploser. En substance : fuck le système !
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Quelques jeunes qui ne sont pas des cailleras, mais juste désœuvrés, pris dans la spirale d’un monde qui part en vrille. Un film de maître qui a mis le quotidien d’une certaine jeunesse à la portée du grand public. On ne peut l’oublier. Jusqu’ici, tout va bien.
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Un jeune et ses quelques potes essayent de s’en sortir en magouillant, dans un monde de magouilles, tout en essayant de rester « des gens biens ». Ironique, frais, tonique… et une jolie pirouette finale !
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Portrait tragique et nostalgique de Marseille, une ville qui vieillit et oublie son passé populaire, et entre en friction avec son présent multiculturel.
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La jeunesse des quartiers, son errance et ses errements à Goussainville. Brut, brouillon et décoiffant. Une claque.
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A Marseille, quelques jeunes essayent en vain d’échapper à un destin ensoleillé de loosers. Musique superbe, film sur la fatalité. Quelque chose d’une tragédie grecque, par la famille IAM.