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Epopée douce-amère d’une famille immigrée, cette série réaliste est parfois un peu cliché. Volonté de didactisme ? Malik Chibane a été plus inspiré naguère. Le formatage de la télévision publique y serait-il pour quelque chose ?
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Un film pudique mais néanmoins choc, sur la transmission familiale, le déserrance et surtout le vide béant laissé par l’effondrement de la classe ouvrière dans un village du sud de la France. Des acteurs étonnants (Bacri, Belmadi), une histoire douce et triste une musique magnifique, rarement on aura montré le désarroi avec une telle force, une telle humanité.
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Deux copines délurées et paumées de Puteaux ne vont pas se laisser bouffer par un monde dur. Attirées par les lumières de la capitale, elles se heurteront au plafond de verre social, mais, vraies guerrières, ne lâcheront pas l'affaire. Frais, cash, pétillant et particulièrement bien brossé (et consentant) sur la fascination du consumérisme.
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Des enfants des quartiers peuvent-ils rester longtemps des enfants ? Blessures affectives, cruauté de la société, humanité et enfance qui veulent s’exprimer pourtant… Parfois caricatural, mais bon dieu, laissez-les vivre !
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Un Juif et un Noir aiment la même fille, métisse, et réciproquement. La jeunesse urbaine et ses heurts racontés de manière marrante. Bien vu, nonchalant, et finalement idéaliste ? Peut-être pas tant.
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La vie quotidienne d’une cité, loin des clichés médiatiques. Ode naïve, mais parfois drôle et pleine d’humanité, au multiculturalisme.
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12 courts métrages sur le racisme. Du bon, du moins bon, mais beaucoup sont accessibles pour les tout petits.
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L’engrenage, ainsi que les atermoiements entre fascination et répulsion, dans lequel est pris un beur qui veut assassiner le leader d’un parti raciste. Extrêmement troublant par sa vision de la complexité d’un certain racisme.
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Une vision où la banlieue, somme de tous les abandons, devient le réceptacle de toutes les violences : symboliques, physiques et policières.
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Les heurts entre la jeunesse désoeuvrée et la police. Tentative de réhabiliter une lecture « lutte des classes » à la réalité quotidienne d’une cité.
Epopée douce-amère d’une famille immigrée, cette série réaliste est parfois un peu cliché. Volonté de didactisme ? Malik Chibane a été plus inspiré naguère. Le formatage de la télévision publique y serait-il pour quelque chose ?
Un film pudique mais néanmoins choc, sur la transmission familiale, le déserrance et surtout le vide béant laissé par l’effondrement de la classe ouvrière dans un village du sud de la France. Des acteurs étonnants (Bacri, Belmadi), une histoire douce et triste une musique magnifique, rarement on aura montré le désarroi avec une telle force, une telle humanité.
Deux copines délurées et paumées de Puteaux ne vont pas se laisser bouffer par un monde dur. Attirées par les lumières de la capitale, elles se heurteront au plafond de verre social, mais, vraies guerrières, ne lâcheront pas l'affaire. Frais, cash, pétillant et particulièrement bien brossé (et consentant) sur la fascination du consumérisme.
Des enfants des quartiers peuvent-ils rester longtemps des enfants ? Blessures affectives, cruauté de la société, humanité et enfance qui veulent s’exprimer pourtant… Parfois caricatural, mais bon dieu, laissez-les vivre !
Un Juif et un Noir aiment la même fille, métisse, et réciproquement. La jeunesse urbaine et ses heurts racontés de manière marrante. Bien vu, nonchalant, et finalement idéaliste ? Peut-être pas tant.
La vie quotidienne d’une cité, loin des clichés médiatiques. Ode naïve, mais parfois drôle et pleine d’humanité, au multiculturalisme.
12 courts métrages sur le racisme. Du bon, du moins bon, mais beaucoup sont accessibles pour les tout petits.
L’engrenage, ainsi que les atermoiements entre fascination et répulsion, dans lequel est pris un beur qui veut assassiner le leader d’un parti raciste. Extrêmement troublant par sa vision de la complexité d’un certain racisme.
Une vision où la banlieue, somme de tous les abandons, devient le réceptacle de toutes les violences : symboliques, physiques et policières.
Les heurts entre la jeunesse désoeuvrée et la police. Tentative de réhabiliter une lecture « lutte des classes » à la réalité quotidienne d’une cité.