
Retour à Calais un mois après le démantèlement de la jungle.

Un mois après la destruction de "la jungle" les conditions de vie des migrants établis à calais se sont aggravées; chaque jour, les associations telles que Salam s'organisent et continuent de préparer des repas chauds pour près de 300 personnes en provenance d'afghanistan, d'Iran, d'Irak, du Soudan et de l'Erythrée. A ce jour l'opération gouvernementale du "démantèlement de la jungle" n'a rien réglé.
Voir les photos prises sur place par Camille Millerand un mois après son premier reportage.